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Archives de Tag: ciné

Mercredi, c’est cinéma!

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Imogène! L’un de mes prochains rendez-vous cinéma!

J’avais dévoré Ne vous fâchez pas Imagène!  de Charles Exbrayat : drôle, attachante et toujours à la poursuite du crime… Imogène est un sacré personnage! (j’avoue… j’adore quand le personnage principale est une femme avec du caractère et que les anglais sont pris pour cibles…)

Synopsis:

Elle est rousse. Elle est écossaise. Elle aime le rugby et la cornemuse. Elle vit à Londres, mais se considère en exil…. Elle a un fichu caractère et une sacrée descente au whisky. Elle s’appelle Imogène Mc Carthery… du clan des McLeod !

En ce beau jour de mai 1962, Imogène, secrétaire à l’Amirauté, vient une nouvelle fois d’humilier son supérieur hiérarchique. C’est l’esclandre de trop.

Dans le bureau de Sir Woolish, le grand patron, Imogène s’attend à être congédiée… Contre toute attente, elle se voit confier une mission secrète : convoyer les plans d’un nouvel avion de guerre jusqu’à un contact en Ecosse, à Callander… son village natal ! Quelle coïncidence !… Quel signe du destin !…

Imogène agent secret… Voilà de quoi en remontrer à ces satanés Anglais et faire la fierté de son défunt père. En montant dans le train qui la ramène au pays, Imogène ignore ce qui l’attend : une machination qui la dépasse, trois agents bolchéviques sans pitié, mais surtout, Samuel Tyler, son grand amour de jeunesse brisé par un terrible secret. Du danger, de l’honneur, de l’amour… En avant Imogène !

Atout majeur du film (et cerise sur le gâteau): Catherine Frot et Lambert Wilson!

La série de livres avait déjà été l’objet d’une adaptation télévisées en 1989 avec Dominique Lavanant:

L’action se passait en Bretagne, et Imogène avait donc un nom breton… Ledantec… (!); enfin, mis à part ce petit écart, le reste était fidèle: Une Imogène bien rousse au caractère bien trempé!! J’espère que le film sera aussi bien!

Belle journée!

Le mercredi, c’est cinéma!

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The Blue Lagoon(1980)

L’histoire:

A l’époque victorienne, au tout début du XIXe siècle, un voilier naviguant sur les eaux du Pacifique à destination de San Francisco, est victime d’un incendie. L’équipage quitte le navire avant que celui-ci ne coule, mais c’est la cohue. Deux jeunes enfants, Richard et Emmeline, sont alors séparés de leur père, parti sur un autre canot de sauvetage. Accompagnés et chaperonnés par le cuisinier du navire, ils dérivent sur l’océan et finissent par trouver une île …

Le cuisinier, vieux marin aguerri, installe un logement, leur apprends à pêcher… bref, à survivre. Il meurt malencontreusement, laissant les deux jeunes enfants à eux-mêmes. Ils vont grandir ensemble et découvrir sans trop comprendre la puberté, les changements du corps, la sexualité, leur attirance…

Le Lagon bleu est tiré du livre d’Henry de Vere Stacpoole, écrit en 1908. Il existe plusieurs adaptations cinématographiques du roman, mais ce film en reste le plus fidèle, notamment par les nombreuses scènes de nudité et les références à la sexualité.

Pour l’anecdote, Brooke Shields, âgée de 14 ans lors du tournage, fut remplacée par une doublure pour les nombreuses scènes où elle est censée apparaître nue (contrairement à Phoebe Cates dans Paradise -voir plus bas-), et pour éviter de montrer sa poitrine, l’actrice colla ses longs cheveux à son torse!

Le beau Christopher Atkins (18 ans à l’époque) réalisa quant à lui intégralement ses scènes de nudité.

A sa sortie (gros succès mondial), le film a largement été critiqué pour les scènes de nudité, l’éloge de la sexualité adolescente qu’il présentait (!), et même accusé de pornographie et de pédophilie (Brooke Shields n’ayant que 14 ans).

(Ah! les kitschissimes 80! décidément, çà ne se refait pas! …)

A voir:

un site très intéressant, consécré à Brooke Shield : Brookenook, vous y trouverez tous les articles parus à l’époque sur le film et aussi les différentes affiches réalisées.

Dans (exactement) le même genre (mais en vraiment moins bien), il y aussi Paradise de Stuart Gillard, sorti en 1982.

L’histoire est (très) globalement similaire. Nous ne sommes plus dans le Pacifique, mais en Afrique, toujours dans la première moitié du 19e siècle. Un garçon et une fille se retrouvent livrés à eux-mêmes après l’attaque de leur caravane et trouvent refuge dans une oasis où ils vivent d’amour et d’eau fraîche…

Un peu plus d’action (et de sexe) dans ce film-ci, avec la présense d’un grand méchant… le Chacal… (non, je ne l’invente pas)!

Bonne journée!