Bovis Marcel, A la Chapelle, Paris, 1933
- Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Changement de propriétaire, une maison close rue des Lombards, 1932
- Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Chez Suzy, trois femmes autour d’un homme, 1932
- Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Chez Suzy, rue Grégoire de Tours, vers 1932
- Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Chez Suzy, rue Grégoire de Tours, vers 1932, épreuve argentique
Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Chez Suzie, en attendant les clients, vers 1932
- Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Chez Suzie, rue Grégoire de Tours, La femme au ruban, vers 1932
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Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Chez Suzie, en attendant les clients, vers 1932
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Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Chez Suzie, rue Grégoire de Tours, La femme au ruban, vers 1932
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Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Chez Suzy, rue Grégoire de Tours, vers 1932, épreuve argentique
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Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Chez Suzy, rue Grégoire de Tours, vers 1932
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Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Chez Suzy, trois femmes autour d’un homme, 1932
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Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Changement de propriétaire, une maison close rue des Lombards, 1932
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Bovis Marcel, A la Chapelle, Paris, 1933
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Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Fille dans un hôtel de passe, rue Quincampoix, vers 1932, épreuve argentique
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Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Fille de joie au billard russe, boulevard Rochechouart, Montmartre, 1932
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Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), La rue Quincampoix et ses hôtels de passe, 1932
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Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Môme Bijou au bar de La Lune, Montmartre, vers 1930-1932
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Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Rue Quincampoix 1930-1932, épreuve argentique
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Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Une fille de joie dans une robe printanière, quartier Italie, 1931
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Brassaï (dit), Halasz Gyula (1899-1984), Une maison close monacale, rue Monsieur-Le-Prince (couple s’embrassant), 1931
Merci beaucoup pour ces images, je ne connaissais pas du tout et c’est non seulement très intéressant du point de vue « documentaire », mais l’esthétique elle-même est réellement saisissante, en particulier « Môme Bijou ».
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